Myriam L’Aouffir, de son nom de jeune fille, rencontre l’ancien ministre des Finances en Corse par l’intermédiaire du député François Pupponi. En 2012, les magazines VSD, Closer et Voici dévoilent leur relation en publiant des clichés volés du couple.

Ce dernier officialise quelques mois plus tard, en mai 2013 à l’occasion du Festival de Cannes, et deux mois après la prononciation du divorce entre DSK et Anne Sinclair. Un moment charnière pour Myriam Strauss-Kahn qui soutient son compagnon coûte que coûte.

Soutien sans faille
Car, à l’époque, Dominique Strauss-Kahn est impliqué dans l’affaire du Carlton de Lille, où il est jugé pour “proxénétisme aggravé” (il sera relaxé en février 2015). Il y a également eu d’autres affaires judiciaires tout aussi médiatiques, comme celle du Sofitel à New York, où il est accusé d’agression sexuelle et de tentative de viol sur une employée de l’hôtel, (l’affaire est réglée par un accord à l’amiable), et l’accusation de tentative de viol par Tristane Banon. La plainte de la romancière sera classée sans suite par le parquet de Paris.

Contre vents et marées, Myriam L’Aouffir, mère de deux garçons, persiste et signe. Le couple finit par se marier officiellement en janvier 2018, après une grande fête d’union à l’automne 2017 au Maroc, le pays natal de Myriam L’Aouffir. Très engagée sur ce territoire, la quinquagénaire se bat depuis plusieurs années avec ses deux associations, qui promeuvent l’éducation et l’alphabétisation et la protection maternelle et infantile dans les zones rurales. Malgré la difficulté du confinement, la femme d’affaires prend du recul auprès de Gala : “Il est primordial de tout relativiser, l’important étant d’avoir un toit, de quoi se nourrir et d’être avec son mari et ses proches.”