Après Idris Elba, c’est maintenant sa femme, Sabrina Dhowre qui est touchée par l’épidémie de coronavirus. L’épouse de l’acteur n’avait pas souhaité être séparée de lui après son diagnostic positif, rapporte le “Daily Mail”.

Idris Elba et Sabrina Dhowre ont prouvé en pleine épidémie de coronavirus qu’ils sont bel et bien mariés pour le meilleur et pour le pire. Une semaine après la contamination de l’acteur, son épouse a elle aussi été diagnostiquée positive au Covid-19, sans présenter toutefois de symptômes majeurs, rapporte le Daily Mail.

Une nouvelle inquiétante que la mannequin a révélée ce dimanche 22 mars, lors d’une interview via Facetime avec l’animatrice vedette Oprah Winfrey. “J’ai appris ce matin que j’ai été diagnostiquée positive”, a-t-elle confié.

Malgré la contamination de son mari, il n’était pas question pour Sabrina Dhowre de le laisser être confiné seul. Un choix qu’elle a justifié en mettant en avant son “instinct d’épouse”. “Je voulais être avec lui”, a assuré la mannequin à Oprah Winfrey, avant d’évoquer son état. : “Je ne ressens rien qui puisse ressemble à ce que l’on pourrait attendre des symptômes du coronavirus, ce qui est très étrange. Ça pourrait changer dans les semaines à venir, et nous tiendrons tout le monde informé.” Même symptômes légers pour Idris Elba, contaminé par un baiser de Sophie Trudeau, l’épouse du Premier ministre canadien. À Oprah Winfrey, la star de The Wire a ainsi affirmé qu’il “se sent[ait] bien”.

Tous deux restent donc confinés au Nouveau-Mexique, où Idris Elba tournait son dernier film au moment de sa contamination. Et visiblement, le couple a trouvé de quoi s’occuper. Entre deux parties de jeux vidéo et d’échecs, l’acteur s’est mis à la guitare, avec le soutien de son épouse. “Vous savez quoi ? Il n’est pas si mauvais. Ça ne me dérange pas qu’il en joue, c’est plutôt romantique“, a lancé Sabrina Dhowre à Oprah Winfrey.

Dans cette épreuve, les amoureux ont choisi de voir le côté positif de l’épidémie, comme l’a expliqué Idris Elba : “L’un des avantages de tout ce drame, c’est que nous sommes enfin obligés de penser comme un seul et unique peuple.”