Le prince Harry vient d’annoncer avoir obtenu un deuxième emploi aux États-Unis, moins de deux jours après l’annonce du premier.
Le prince Harry devrait avoir un emploi du temps bien chargé dans les prochains mois. C’est en tout cas ce que sous-entend l’annonce du deuxième emploi qu’il a réussi à décrocher. Le petit-fils d’Elizabeth II va en effet devenir l’un des 15 membres de la nouvelle commission sur les fausses informations de l’Institut Aspen. Financé par le milliardaire et fondateur du site Craigslist, Craig Newmark, ce très célèbre groupe de réflexion basé à Washington DC a pour vocation d’examiner tous les domaines de la vie américaine dans le but de construire une “société libre, juste et équitable”, précise le DailyMail, dans un article paru mercredi 24 mars.

Un nouveau poste que le duc de Sussex semble prendre très au sérieux. “Comme je l’ai dit, l’expérience du monde numérique d’aujourd’hui nous a inondé d’une avalanche de désinformation affectant notre capacité en tant qu’individu et société à penser clairement et à comprendre vraiment le monde dans lequel nous vivons”, a-t-il indiqué dans un communiqué. Et d’ajouter : “Je suis impatient de rejoindre cette nouvelle commission Aspen et j’ai hâte de travailler sur une approche orientée solution, à cette crise de la désinformation.” Durant cette mission qui lui a été confiée, le prince Harry sera donc amené à travailler à temps partiel et à participer à des réunions régulières. De quoi lui laisser le temps d’avoir d’autres activités parallèles.

Nouvel emploi dans la Silicone Valley
D’après un article publié le mardi 23 mars dans le Wall Street Journal, en plus de son travail auprès de l’Institut Aspen, le duc va également travailler au sein de BetterUp. Dans cette start-up américaine spécialisée dans le coaching professionnel, le mari de Meghan Markle sera “Directeur de l’impact”. Un poste pour lequel il sera en charge des questions liées à la santé mentale, la durabilité ainsi que l’impact d’une entreprise sur la société.

Grâce à cet emploi, le prince Harry pourrait toucher au minimum près d’un de 80 000 livres sterling par mois, soit environ 93 000 euros. C’est en tout cas ce qu’a déclaré le journal britannique, The Guardian, le 23 mars. Mais selon le principal intéressé, l’argent n’est pas la priorité. “J’ai l’intention d’aider à créer un impact dans la vie des gens”, a-t-il déclaré au Wall Street Journal. Et de renchérir : “Le coaching proactif procure des possibilités infinies pour le développement personnel, une meilleure conscience des choses et globalement, une meilleure vie.” Tout un programme !