Elle est sa muse et sa femme. Orelsan a épousé Ahélya Randriambolaina, sa compagne de longue date. Un mariage en tout petit comité, covid oblige, que le couple révèle dans Montre jamais ça à personne partie 2La série documentaire, à nouveau réalisée par le frère du rappeur, a été tournée pendant le confinement. Elle raconte en quatre épisodes de 45 minutes la création de son 4e album, baptisé Civilisation. Une période qui fut compliquée pour le chanteur, qui fut un moment à court de bonnes idées. Sa femme, tout particulièrement discrète dans les médias, a bien failli ne pas y apparaître.

Néanmoins, le titre phare du disque, La quête donnait du fil à retordre à l’artiste. Devenu un tube, le morceau aurait été différent sans ce grand oui, prononcé avant sa finalisation par le quarantenaire. “En général je vis les émotions à retardement. Sur le moment tout me stresse”, explique Orelsan sur le plateau de C à Vous ce lundi 10 octobre. Une fois la joie de son union “digérée“, elle a permis au compositeur d’achever la chanson. “Notre ligne de conduite c’était de se dire : si ça aide à comprendre sa musique on le met, si c’est juste pour mettre des images intimes, ce n’est pas la peine“, explique Clément Cotentin.

Ahélya, l’inspiration d’Orelsan

La quête n’est pas le premier tube qu’Ahélya Randriambolaina inspire à son époux. En 2017, le rappeur signait le titre Paradis, ode à leur vie à deux. “Qu’est-ce que j’irais faire au paradis, quand tu t’endors près de moi? Qu’il le donne à d’autres le paradis, je n’en voudrais pas“, déclamait ainsi le rappeur. En couple depuis plus d’une décennie, les deux amoureux vivent à Paris. À l’époque, le rappeur clamait aussi dans cette chanson : “On aura plein d’enfants parce que y’a que ça qui compte”. Mariés depuis deux ans, le couple n’a annoncé pour l’instant avoir pour projet d’agrandir sa famille.