L’affaire du passeport diplomatique d’un ressortissant iranien, présumé faux par la justice centrafricaine, cache-t-elle un scandale plus vaste, impliquant notamment d’anciens ministres ?

L’affaire du passeport diplomatique de l’Iranien Shahram Dantism a mis le feu aux poudres à Bangui.

Sur ce document, délivré le 28 novembre 2019 et signé par Sylvie Baïpo Temon, la ministre centrafricaine des Affaires étrangères, le diplomate, qui travaille pour le Réseau des chambres des experts européens, département Afrique de l’Ouest, est qualifié d’« ambassadeur ».

Problème : la justice soupçonne un faux.

Source :Jeune Afrique